1897 - Le châssis plat. A ce stade de son évolution, l’automobile qui gagne en performances doit se doter d’un châssis plus rigide. D’autre part, les constructeurs se spécialisent et on assiste à un partage des métiers entre les mécaniciens et les carrossiers. D’où une architecture à deux étages de part et d’autre d’un châssis plate-forme : au dessous, la mécanique créée par le constructeur et au dessus, l'habitacle organisé par le carrossier à la demande du client.

Audibert & Lavirotte,  
Double phaéton 1897 
(Photo : Musée Henri Malartre, Lyon.)